Biovancia propose de nombreux produits sur le marché des compléments alimentaires (Artimium 360, Prostalim XR, Neo-Collagen, NutraMag B6…). Fondée en France (2018), l’entreprise a pour mission de combiner les composants les plus précieux de la nature avec des innovations scientifiques pour fournir des produits de qualité. Les solutions de santé naturelles de Biovancia sont formulées avec des vitamines, des plantes, des minéraux et d’autres ingrédients actifs brevetés.
On dit généralement que certaines personnes chanceuses possèdent un « bon métabolisme ».
En réalité, elles possèdent surtout un excellent microbiote.
La science vient en effet de mettre en évidence l’importance du microbiote (également appelé « flore intestinale »), ce drôle d’organe logé à l’intérieur de vos intestins (1).
Sachez que le microbiote joue un rôle clé dans votre digestion, votre métabolisme énergétique et la régulation ou le dérèglement de votre poids. Il peut vous aider à :
- Reprendre le contrôle de votre poids sans effort particulier sur votre alimentation ni votre activité physique
- Perdre vos kilos en trop, au niveau du ventre, des hanches, des fesses, des bras
- Améliorer drastiquement votre digestion et en finir avec vos ballonnements, quoi que vous ayez mangé pendant la journée.
- Vous débarrasser de vos fringales sans avoir besoin d’avoir une volonté de fer (2).
- Affiner votre silhouette, surtout au niveau du ventre, des cuisses et des fesses.
Et, jour après jour, vous pouvez constater d’autres changements très bénéfiques sur votre santé, tout en mangeant à votre faim.
Votre microbiote est votre meilleur allié pour maigrir.
La science prête une véritable intelligence à vos intestins, qui comptent 200 millions de neurones (3).
Et au cœur de cette intelligence, se trouve votre microbiote, avec ses cent mille milliards de bactéries
Comme l’affirme le Professeur Gabriel Perlemuter, chef de service à l’hôpital Antoine-Béclère de Clamart, « le microbiote est au centre de notre organisme, il n’existe probablement aucune maladie qui ne lui soit pas liée ».
Votre microbiote contribue activement à votre digestion, en transformant les aliments non digérés en acides gras à chaîne courte, très importants pour la santé intestinale, le bon fonctionnement du métabolisme et la RÉGULATION DU POIDS.
Votre microbiote protège vos muqueuses intestinales, en stimulant la production d’un mucus qui assure leur étanchéité.
Ce mucus visqueux tapisse les parois de vos intestins et les préserve des bactéries pathogènes.
En participant à la vascularisation de l’intestin, il permet le transport des nutriments dans la circulation sanguine.
Il intervient aussi dans la synthèse de nombreux minéraux et vitamines (K2, B12, B8) indispensables à votre santé.
Ainsi, quand vous avez la bonne idée de manger des légumes, des fruits et tout aliment riche en polyphénols, votre microbiote métabolise ces précieuses molécules, pour diffuser leurs bienfaits dans tout votre corps.
Votre microbiote s’oppose aux phénomènes inflammatoires si nocifs pour votre santé et votre poids, en bloquant l’entrée des molécules polluantes (pesticides, médicaments) dans votre circuit sanguin.
Avec une intelligence redoutable, les bactéries bénéfiques de votre microbiote filtrent le trop plein de graisses et de sucre.
Mais pour exercer tous ses super-pouvoirs, votre microbiote doit absolument être en bonne santé.
En effet, un microbiote en bonne santé est bien plus efficace et régule d’autant mieux votre poids.
Mais si votre microbiote n’accueille pas de populations bactériennes suffisamment variées et nombreuses, alors c’est le début des ennuis car un microbiote affaibli augmente le stockage des graisses.
Si dans votre microbiote, les bactéries et levures néfastes supplantent les bactéries protectrices, un cercle vicieux se met en place et toutes les conditions sont réunies pour vous faire grossir.
Votre barrière intestinale devient poreuse et laisse passer dans votre sang les molécules indésirables : sucres, gras, polluants et aussi des fragments bactériens et des déchets néfastes.
Cet afflux de substances étrangères dans la circulation sanguine multiplie les risques d’intolérances alimentaires.
Il provoque aussi un état inflammatoire, qui altère encore davantage le microbiote de l’intestin et favorise le stockage des graisses
Quand votre microbiote est déséquilibré, il vous pousse à manger plus que vous n’en avez réellement besoin.
La porosité empêche aussi vos intestins de fabriquer suffisamment de sérotonine : or, la sérotonine est un neurotransmetteur déterminant pour l’équilibre émotionnel et la bonne humeur.
Si votre taux de sérotonine baisse, ceci vous expose davantage aux insomnies, à la dépression et à la boulimie.
Pire encore, l’inflammation augmente votre envie de manger : parce qu’elle entraîne une résistance aux effets de la leptine, l’hormone coupe-faim par excellence.
Produite par vos cellules graisseuses (les adipocytes), la leptine informe votre cerveau du niveau de vos réserves de graisse corporelle.
Ainsi averti, le cerveau calme alors votre appétit et stimule la combustion des graisses (4).
Normalement, plus vos adipocytes sont nombreux, plus vous sécrétez de leptine et mieux votre appétit est régulé.
Mais lorsque l’inflammation génère une leptino-résistance, le mécanisme de satiété s’enraye :
C’est ainsi que malgré un taux de leptine élevé, les personnes obèses ne peuvent plus réguler leur appétit (5).
Ce n’est pas tout : quand il est envahi par certaines levures, votre microbiote augmente vos envies de sucre.
Quand elles se trouvent en surnombre, les mycoses digestives telles que le Candida albicans, influencent vos choix alimentaires pour vous faire consommer ce qu’elles veulent elles-mêmes manger, c’est-à-dire du sucre !
Le Candida albicans est ainsi capable de transmettre des messages au cerveau, pour lui imposer des pulsions alimentaires et des fringales incontrôlables.
La science a établi un lien entre un microbiote en mauvaise santé et le surpoids.
Il est avéré que le microbiote intestinal des personnes en surpoids diffère de celui des personnes minces.
En effet, il contient une proportion supérieure de firmicutes, ce qui n’est pas bon du tout (6).
Les firmicutes sont une catégorie de bactéries intestinales qui déclenchent le surpoids, parce qu’elles extraient une plus grande quantité de calories des aliments ingérés.
Résultat, les personnes dont le microbiote est colonisé par trop de firmicutes, vont stocker beaucoup plus de graisses.
À l’inverse, les individus dont la flore intestinale compte davantage de bactéries protectrices, conserveront bien plus facilement leur poids de forme.
La revue scientifique Nature a publié deux études démontrant la relation entre l’obésité et la prépondérance de bactéries spécifiques dans le microbiote (7–8).
Ces études ont notamment analysé les génomes bactériens respectifs de 341 personnes : 207 d’entre elles étaient obèses et 134, de poids normal.
Il a ainsi été constaté que 80% des sujets en surpoids possédait un microbiote peu diversifié.
D’autres études dénombraient 300 000 gènes bactériens dans le microbiote des personnes en surpoids, contre 800 000 au moins, dans celui de personnes de poids normal.
Figurez-vous que quand on transplante le microbiote d’une personne obèse à une personne mince, cette dernière peut à son tour prendre du poids !
Ce phénomène a d’abord été observé chez les souris : une expérience a déterminé qu’en inoculant à des souris minces le microbiote de souris obèses, les souris minces se mettent à grossir, alors même qu’elles mangent peu (9–10).
Le même constat s’est imposé chez les humains :
Une femme atteinte de grave colite infectieuse, a reçu une transplantation fécale, dont le donneur était sa fille. La femme a guéri ; mais elle a ensuite grossi de plus de 15 kg en six mois ! (11)
Il se trouve que sa fille souffrait elle-même d’obésité.
Une fois transplantée, sa flore intestinale a provoqué une forte prise de poids chez sa mère.
Si votre microbiote est déséquilibré, réduire votre apport calorique et augmenter votre activité physique ne suffira pas à résoudre vos problèmes de surpoids.
Rappelez-vous : certaines bactéries favorisent le stockage des graisses en réduisant les dépenses énergétiques.
À l’inverse, d’autres souches bactériennes brûlent davantage d’énergie énergétique et facilitent la perte de poids.
Voilà pourquoi, plutôt que de faire un énième régime frustrant et fatigant, il est bien plus efficace d’agir dès maintenant sur la qualité de votre microbiote.
Si vous avez été contraint de prendre des antibiotiques, si vous vivez dans un environnement urbain pollué, ou si vous mangez souvent une nourriture très industrielle ou très sucrée, votre microbiote peut en souffrir, sans que vous ne le sachiez. Et il n’y a aucune raison pour que vous continuiez à en subir les conséquences.
- Premièrement : la santé de votre microbiote détermine votre état de santé globale, alors vous devez absolument le soigner
- Deuxièmement : vous pouvez facilement relancer votre amincissement et déstocker vos graisses, au moyen d’une solution très simple qui vous rendra un microbiote de compétition
Vous avez compris l’importance fondamentale d’avoir un microbiote performant pour vous protéger des maladies inflammatoires, des microbes pathogènes et du stockage de graisse.
Et vous savez à présent que pour vous aider à retrouver et conserver un poids normal, il vous faut absolument rééquilibrer la composition de votre flore intestinale.
Beaucoup de remèdes miracles et arnaques existent en ligne. Mais la vérité est que si vous ne soignez pas vos intestins, aucun régime, ni aucun exercice physique ne sera efficace pour vous débarrasser de vos kilos en trop et vous souffrirez pour rien.
Sources scientifiques :
1. PubMed.gov : Le microbiote intestinal : un organe à part entière — Jean-Jacques Morand — 01/02/2017
2. Tennoune et al., Translational Psychiatry (2014), 1–11
3. L’Intelligence naturelle de l’intestin — docteur Michael Mosley — 21 février 2019
4. Barbier M. et al. La leptine: aspect physiologiques et implications en Hépato-Gastroentérologie. GCB. 2000; 25(5); 506–519.
5. Farr O.-M. et al. Leptin applications in 2015: “What have we learned about leptin and obesity?”. Curr Opin Endocrinol Diabetes Obes. 2015; 22(5): 353–359.
6. Ley RE, Turnbaugh PJ, Klein S, Gordon JI. Microbial ecology: human gut microbes associated with obesity. Nature. 2006 Dec 21;444(7122):1022–3.
7. Cotillard et al., (2013), Nature, 500(7464):585–8
8. Le Chatelier et al., (2013), Nature, 500(7464):541–6
9. Lecerf J.-M. : Microbiote intestinal,poids et inflammation. La Lettre de l’Hépato-gastroentérologue Vol. XIV — n° 4 — juillet août 2011.
10. Judith Aron-Wisnewsky et al. : Microbiote et obésité : données cliniques et chirurgicales. Correspondances en Métabolismes Hormones Diabètes et Nutrition — Vol. XIX — n° 5–6 — mai-juin 2015
11. Alang N, Kelly CR. Weight gain after fecal microbiota transplantation. Open Forum Infect Dis. 2015 ; 2(1):ofv004.
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