Fondée en France (2018), Biovancia est un leader du marché des compléments alimentaires. La mission de l’entreprise est de combiner les composants les plus précieux de la nature avec des innovations scientifiques pour fournir des produits de qualité. Les solutions de santé naturelles de Biovancia sont formulées avec des vitamines, des plantes, des minéraux et d’autres ingrédients actifs brevetés. Biovancia s’est récemment associée à Rêves pour aider à réaliser les rêves d’enfants gravement malades.
Avec la crise sanitaire, les poumons ont été soumis à rude épreuve.
Or, l’état des poumons détermine en grande partie la capacité à résister et à récupérer en cas d’infection respiratoire.
Comment alors les protéger et les renforcer ?
Ces informations sont capitales dans le contexte actuel et elles peuvent même être vitales si :
- vous avez plus de 50 ans
- vous fumez (ou vous avez fumé)
- vous faites peu ou pas d’activité physique
- vous souffrez ou vous avez souffert de problèmes respiratoires (essoufflements, bronchites, asthme, pneumonie, infections respiratoires…).
Voilà ce qui se passe dans les poumons lorsqu’on respire.
Les voies respiratoires qui traversent les poumons ressemblent à un petit arbre à l’envers, les petites branches de cet arbre sont les bronches et à leurs extrémités se trouvent les alvéoles.
Ce sont de minuscules poches qui récupèrent l’air inspiré et qui l’envoient ensuite dans tout le corps.
Imaginez un petit ballon gonflable. Au fur et à mesure que vous le remplissez d’air, il gonfle.
Lorsque vous en pincez le bout, l’air reste en place et il reste gonflé.
Ensuite, une fois que vous le relâchez, l’air s’échappe et le ballon se dégonfle.
Les alvéoles des poumons fonctionnent comme un ballon gonflable.
Lorsque vous prenez une profonde inspiration, les alvéoles se remplissent d’air et elles gonflent.
L’oxygène passe ensuite à travers les parois des alvéoles dans la circulation sanguine et il se dirige partout où le corps en a besoin.
Une fois que l’oxygène est parti et que vous expirez, les alvéoles se dégonflent, exactement comme un ballon qui se dégonfle.
Voilà une machine qui paraît parfaitement huilée…
Sauf que tout ce qui entre dans les poumons peut affecter les alvéoles.
Cela commence avec les particules toxiques que nous respirons chaque jour.
Lorsque les poumons sont exposés à la pollution environnementale ou à la fumée, les alvéoles ont plus de mal à pomper l’oxygène dont le corps a besoin.
Au fil des années, à force de travailler et de s’épuiser, les alvéoles perdent leur élasticité, comme un élastique qui a été trop souvent étiré.
Une fois que les alvéoles perdent leur élasticité, elles ne peuvent plus gonfler et se dilater comme précédemment et elles provoquent une diminution massive de la quantité d’oxygène circulant dans les poumons.
En d’autres termes, les alvéoles commencent à ressembler à un vieux ballon fatigué et elles ne peuvent tout simplement plus aspirer et expulser autant d’air qu’avant.
C’est pourquoi vous pouvez avoir l’impression d’être plus vite essoufflé ou de ne pas respirer aussi profondément que lorsque vous étiez plus jeune…
Mais il y a plus grave encore : lorsque vous êtes infecté par un virus respiratoire, celui-ci va s’attaquer aux alvéoles déjà affaiblies, ce qui augmente les risques de complications. (3)
La bonne nouvelle est que les dommages subis par les alvéoles peuvent être réduits et même inversés.
Pour protéger les poumons et en particulier pour renforcer les alvéoles, il faut augmenter les réserves de VITAMINE D.
Des études montrent que les voies respiratoires, les bronches et les alvéoles sont remplies de récepteurs de vitamine D.
Ces récepteurs produisent et soutiennent un ensemble de cellules combattantes immunitaires dans les poumons : des peptides antimicrobiens, des macrophages alvéolaires, ainsi que des cellules T et B.
Grâce à ces différentes propriétés, la vitamine D est l’alliée n°1 des poumons, en particulier en cas d’infection respiratoire : en mai 2020, au pic de la crise sanitaire, l’Académie française de Médecine a d’ailleurs publié un communiqué recommandant la prise de vitamine D. (4)
Cette recommandation est encore plus importante dans la période compliquée que nous traversons actuellement.
Pour bénéficier au maximum de la supplémentation en vitamine D, il est important de garder à l’esprit les trois règles issues des études les plus récentes.
Règle n°1 : privilégiez la vitamine D3
Plusieurs formes de vitamine D sont commercialisées dont la D2 (ergocalciférol) et la D3 (cholécalciférol).
Le corps humain ne fabrique pas de vitamine D2 mais il est capable de synthétiser naturellement de la vitamine D3 à partir des rayons du soleil.
La vitamine D3 a une capacité supérieure de 87% à celle de la D2 pour élever et maintenir les concentrations de vitamine D.
C’est donc celle-ci qu’il faut choisir car elle est la seule que le corps peut vraiment assimiler.(8)
Règle n°2 : évitez les méga-doses de vitamine D
Une méga-dose peut contenir jusqu’à 100 000 Unités Internationales (UI) de vitamine D.
Le corps n’est pas fait pour assimiler cette méga-dose.
En 2015, une étude de référence a montré que ce genre de supplémentation est inefficace.(9)
Les méga-doses contiennent parfois des excipients douteux, comme le butylhydroxytoluène (E321).
Il est préférable de prendre chaque jour une dose physiologique de vitamine D. C’est plus naturel et plus efficace.
Règle n°3 : choisissez le bon dosage
Pour un adulte, les autorités de santé françaises recommandent un apport quotidien de 400 Unités Internationales (UI) de vitamine D.
Mais d’après les études les plus récentes, c’est beaucoup trop bas.
De nombreux experts recommandent une supplémentation d’au moins 1 000 UI par jour.
Certaines études préconisent même des doses allant jusqu’à 10 000 UI par jour.(10)
Notez que, même à cette dose, vous ne risquez aucune intoxication.
Voici six autres nutriments efficaces pour protéger les poumons.
6. Le sélénium est le minéral le plus important pour les poumons. Des études montrent que les personnes ayant des niveaux sanguins plus élevés de sélénium ont une meilleure fonction pulmonaire, par rapport à celles ayant des niveaux inférieurs.(17)
Compte tenu du fait que ces six éléments protecteurs se trouvent dans notre alimentation, mais dans des quantités infimes et souvent insuffisantes pour garantir que les poumons obtiennent chaque jour ce dont ils ont besoin, une supplémentation peut s’avérer nécessaire.
Sources :
1 Splansky GL, et al. “The third generation cohort of the National Heart, Lung, and Blood Institute’s Framingham Heart Study: Design, recruitment, and initial examination.” Am J Epidemiol. 2007;165(11):1328–1335.
2 Schünemann JH, et al. “Pulmonary function is a long-term predictor of mortality in the general population*.” Chest. 2000;118(3):656–664.https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10988186/
3 Short KR, et al. “Influenza virus damages the alveolar barrier by disrupting epithelial cell tight junctions.” Eur Respir J. 2016;47(3):954–966.
4 Vitamine D et Covid-19 Communiqué de l’Académie nationale de Médecine 22 mai 2020
5 Canell JJ, Hollis B : Use of vitamin D in clinical practice. Alt Med Rev 2008, 13(1): 7–20.
7 Lorena Alvarez-Rodriguez, Marcos Lopez-Hoyos, Maite Garcia-Unzueta, Jose Antonio Amado, Pedro Muñoz Cacho, and Victor Manuel Martinez-Taboada. Age and low levels of circulating vitamin D are associated with impaired innate immune function. J Leukoc Biol May 2012
8 The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism,Vitamin D3 Is More Potent Than Vitamin D2 in Humans, Robert P. Heaney, Robert R. Recker,
James Grote, Ronald L. Horst, and Laura A. G. Armas
9 PLoS One. 2015 Jan 20;10(1):e0115850. doi: 10.1371/journal.pone.0115850. eCollection 2015. A meta-analysis of high dose, intermittent vitamin D supplementation among older adults. Zheng YT1, Cui QQ1, Hong YM1, Yao WG1.
10 Hathckock J.N. et al., Risk assessment for Vitamin D, Am. J. Clin. Nutr., 2007 Jan, 85(1): 6–18
11 LaNutrition.fr
12 Free Radicals, Antioxidants and Functional Foods: Impact on Human Health. Pharmacognosy Reviews,2010,4,8,118–126. Published:October 2010. Authors:V Lobo, A Patil, A Phatak, and N Chandra. V. Lobo, A. Patil, A. Phatak, N. Chandra. Department of Botany, Birla College, Kalyan-421304, Maharastra, India
13 American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine > List of Issues > Volume 188, Issue 3. Two Faces of Vitamin E in the Lung. Joan M. Cook-Mills.
14 Tanrikulu AC, Abakay A, Evliyaoglu O, Palanci Y. Coenzyme Q10, copper, zinc, and lipid peroxidation levels in serum of patients with chronic obstructive pulmonary disease. Biol Trace Elem Res. 2011 Nov;143(2):659–67. Gazdik F, Gvozdjakova A, Nadvornikova R, et al. Decreased levels of coenzyme Q(10) in patients with bronchial asthma. Allergy. 2002 Sep;57(9):811–4. Gazdik F, Gvozdjakova A, Horvathova M, et al. Levels of coenzyme Q10 in asthmatics. Bratisle Lek Listy. 2002;103(10):353–6.
15 Mucoactive therapy in COPD. Decramer M, Janssens W. Eur Respir Rev. 2010 Jun 1;19(116):134–40. Mucoactive drugs. Balsamo R, Lanata L, Egan CG. Eur Respir Rev. 2010 Jun 1;19(116):127–33.
16 J Nutr Health Aging. 2012 Apr; 16(4): 291–296. SERUM CAROTENOIDS AND PULMONARY FUNCTION IN OLDER COMMUNITY-DWELLING WOMEN. R. D. SEMBA,1 S. S. CHANG, K. SUN,2 S. TALEGAWKAR,3 L. FERRUCCI,4 and L. P. FRIED5
17 Nutrients. 2019 Jun; 11(6): 1357. Role of Diet in Chronic Obstructive Pulmonary Disease Prevention and Treatment Egeria Scoditti,1,* Marika Massaro,1 Sergio Garbarino,2 and Domenico Maurizio Toraldo,3