La meilleure stratégie pour mincir sans contrainte, sans risque pour la santé et de manière durable.

Biovancia propose de nombreux produits sur le marché des compléments alimentaires. Fondée en France (2018), l’entreprise a pour mission de combiner les composants les plus précieux de la nature avec des innovations scientifiques pour fournir des produits de qualité. Les solutions de santé naturelles de Biovancia sont formulées avec des vitamines, des plantes, des minéraux et d’autres ingrédients actifs brevetés.

Biovancia : quels aliments et modes de vie adopter pour mincir durablement ?

Des découvertes scientifiques récentes ont révélé que c’est en s’adaptant aux mécanismes physiologiques du corps qu’il devient possible d’enclencher une perte de poids vertueuse. Il vaut mieux en effet :

• plutôt que d’affamer le corps, apprendre à contrôler l’appétit
• plutôt que de le priver d’aliments, l’aidez à diminuer les sensations de fringales et les envies de grignotage
• plutôt que de l’inciter à stocker ce qui est consommé, l’aider à transformer tout de suite les graisses en énergie de façon à limiter l’apport calorique et à éliminer plus vite

Même avec la meilleure volonté du monde, les régimes ne marchent pas car justement ils s’opposent aux mécanismes naturels du corps.

Cela aura été l’erreur majeure commise par l’industrie de la minceur d’amener à croire que c’est en se privant que l’on parvient à mincir et qu’en infligeant des restrictions au corps, celui-ci finira par « obéir ».

Bien sûr, les promoteurs de régimes se permettent de faire de belles promesses de type : « Perdez 5 kilos en 2 semaines ! »

Mais ce que la balance (et les personnes qui vendent ces régimes) ne vous disent pas, c’est qu’on perd d’abord de la masse maigre, c’est-à-dire des os et des muscles, avant de perdre du gras.

Si on arrête un régime brutalement, on aura proportionnellement plus de masse grasse qu’avant de le commencer, par rapport au poids total du corps.

Le corps est programmé pour lutter contre la perte de poids donc, lorsqu’ il est privé de sa ration calorique habituelle, il commence à « prendre peur » et se met alors à économiser son énergie et à se constituer des réserves pour ne surtout pas perdre de poids.

Finalement, en se mettant au régime, on obtient l’effet inverse de celui recherché.

La production de leptine, l’hormone qui régule l’appétit, va d’ailleurs diminuer, ce qui va déclencher des fringales de plus en plus fréquentes.(1)

C’est le signal qu’envoie le corps pour demander de la nourriture.

Même en redoublant d’efforts pour ne pas succomber, la balance ne descend plus et il devient presque impossible de perdre le moindre kilo supplémentaire.

Si l’on arrête brusquement le régime, toutes les calories supplémentaires vont alors aller se stocker sous forme de graisse.

La reprise de poids était malheureusement inévitable et c’est bien ce que l’on constate dans 95 % des cas !

Le comble est que la personne est maintenant moins musclée et a plus de graisses qu’avant car les muscles et les os mettent plus de temps à se reconstituer.

Comment alors perdre du poids sans effort et de manière durable ?

En recherchant quelles sont les populations qui sont le moins affectées par les problèmes d’obésité, on tombe assez rapidement sur le Japon.

Il est de notoriété publique que le Japon est le peuple au monde qui compte le plus de centenaires et le moins d’obèses. En fait, sa population est principalement constituée d’individus plutôt minces.

Cela peut sembler surprenant si l’on considère que l’alimentation japonaise est composée à plus de 70 % de glucides (aliments frits, riz, nouilles).

À priori, les glucides représentent une catégorie d’aliments qui font énormément grossir.

Il s’agit donc là d’une situation paradoxale.

Cependant, à y regarder de plus près, on se rend compte qu’il existe dans l’alimentation japonaise une petite algue qui peut aider à perdre du poids beaucoup plus vite !

Il s’agit du wakamé, principalement consommé en salade.

Les médecins de l’Université de Washington ont montré son efficacité pour éliminer la graisse, que ce soit la graisse sous-cutanée (les masses graisseuses visibles dans le miroir) ou la graisse viscérale (celle qui enveloppe les organes et augmente le risque de maladies).

Il s’agit là de la première action véritablement anti-kilos : accélérer le métabolisme du corps pour augmenter sa consommation d’énergie.

Plus le corps va mobiliser de calories pour les transformer en énergie, plus ces dernières seront éliminées rapidement.

Cependant, à mesure que les années passent, l’organisme a de plus en plus de mal à réaliser cette transformation et les calories vont alors se stocker sous forme de graisses dans les cuisses, le ventre ou les hanches.

Peu importe le régime ou la pratique sportive intensive pratiquée, rien n’y fera car le métabolisme ralentit inexorablement au fil des années.

C’est là qu’intervient le wakamé.

De nombreuses études scientifiques ont montré qu’il a justement la capacité à stimuler le métabolisme et à favoriser ainsi la perte de poids.

Il contient de la fucoxanthine, un caroténoïde qui lui donne sa couleur brune et qui est un actif précieux pour enclencher la perte de poids.(2)

Les caroténoïdes sont des pigments végétaux responsables des couleurs rouges, orangées, jaunes et vertes des fruits, des légumes, des fleurs et des algues. Il s’agit de substances liposolubles (solubles dans les graisses) qui possèdent des propriétés antioxydantes.

Des femmes en surpoids ont réussi à perdre 7 kilos en 16 semaines, sans rien changer à leurs habitudes, simplement en consommant une molécule extraite du wakamé.(3)

Une équipe de scientifiques de Harvard a découvert qu’il contenait une protéine spéciale appelée UCP1.(4)

Cette protéine, naturellement présente dans le corps, a la faculté de « demander » aux cellules de libérer les graisses afin que le corps les brûle immédiatement pour fournir plus d’énergie.

Vous perdez du poids et, en plus, vous êtes en pleine forme.

C’est là le secret du wakamé, il stimule l’action de la protéine UCP1 brûleuse de graisses et il serait d’ailleurs le seul aliment capable de réaliser cette prouesse.(2)

Des études menées par des scientifiques de renommée internationale sont toutes arrivées à la même conclusion — la stimulation de la protéine UCP1 exerce une influence majeure sur la perte de poids :

• Une étude du Baylor College of Medicine a conclu que « l’inversion de la résistance à l’insuline et de l’obésité ont été associées à une expression accrue de la protéine UCP1 ».(5)
• Une autre étude de l’Université de Cambridge a confirmé qu’une meilleure activité de la protéine UCP1 « a augmenté la dépense énergétique pour l’ensemble du corps, une sensibilité améliorée à l’insuline, une réduction de la graisse du foie et une réduction de l’inflammation du tissu adipeux ».(6)
• Dans une étude de l’Université de Californie, des chercheurs ont augmenté l’activité de la protéine UCP1 et ont constaté une « augmentation de la dépense énergétique de 20 à 30 % ». L’étude a conclu que la protéine UCP1 pourrait être un « nouveau moyen de moduler le bilan énergétique en tant que traitement de l’obésité et des troubles cliniques connexes ».(7)

En d’autres termes, le niveau d’activité de cette protéine UCP1 est l’explication qui nous permet de comprendre pourquoi certaines personnes restent toujours minces, quel que soit leur mode de vie.

Ce serait donc l’un des principaux secrets des Japonais qui restent minces alors qu’ils ingèrent des quantités importantes de glucides au quotidien.

En augmentant la production d’énergie, le wakamé leur permettrait de brûler plus vite les graisses corporelles et de conserver ainsi une silhouette svelte.

Sources scientifiques :

1. Leptin & Leptin Resistance, Cleveland Clinic, medical professional, reviewed 02/23/2022
2. Anti-obesity activity of the marine carotenoid fucoxanthin, Maria Alessandra Gammone, Nicolantonio D’Orazio Mar Drugs 2015 Apr 13
3. Abidov M, Ramazanov Z, Seifulla R, Grachev S. The effects of Xanthigen in the weight management of obese premenopausal women with non-alcoholic fatty liver disease and normal liver fat. Diabetes Obes Metab. 2010 Jan
4. Schneider K, et al. “Increased energy expenditure, Ucp1 expression, and resistance to diet-induced obesity in mice lacking nuclear factor-erythroid-2-related transcription factor-2 (Nrf2). J Biol Chem. 2016;291(14):7754–7766.
5. Xiaoshuang Z, and al. “ ROCK1 reduces mitochondrial content and irisin production in muscle suppressing adipocyte browning and impairing insulin sensitivity.” Sci Rep. 2016
6. Hoffmann JM, et al. “BMP4 gene therapy in mature mice reduces BAT activation but protects from obesity by browning subcutaneous adipose tissue.” Cell Rep. 2017;20(5):1038–1049.Enerbäck S, et al. “The adipocyte: A multifunctional cell.” Nobelprize.org. 2006