Et si la maladie d’Alzheimer commençait dans l’intestin ?

Biovancia
6 min readMay 23, 2023

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Biovancia : comment comprendre et traiter la maladie d’Alzheimer ?

Biovancia propose de nombreux produits sur le marché des compléments alimentaires. Fondée en France (2018), l’entreprise a pour mission de combiner les composants les plus précieux de la nature avec des innovations scientifiques pour fournir des produits de qualité. Les solutions de santé naturelles de Biovancia sont formulées avec des vitamines, des plantes, des minéraux et d’autres ingrédients actifs brevetés.

Nouvel espoir contre Alzheimer, son origine ne se trouverait pas là où on l’attendait…

C’est en tout cas ce que révèle une récente étude qui a eu l’effet d’une bombe au sein de la communauté scientifique.

Une équipe de chercheurs suisses et italiens a prouvé qu’il existait un lien entre la flore intestinale (ou « microbiote ») et la maladie d’Alzheimer.(1)

Le microbiote protège les muqueuses intestinales en stimulant la production d’un mucus qui assure leur étanchéité.

Ce mucus visqueux tapisse les parois des intestins et les préserve des bactéries pathogènes.

En participant à la vascularisation de l’intestin, il permet le transport des nutriments dans la circulation sanguine.

Il intervient aussi dans la synthèse de nombreux minéraux et vitamines (K2, B12, B8) indispensables à la santé.

Ainsi, quand on a la bonne idée de manger des légumes, des fruits et tout aliment riche en polyphénols, le microbiote métabolise ces précieuses molécules qui vont diffuser leurs bienfaits dans tout l’organisme.

Le microbiote s’oppose aux phénomènes inflammatoires si nocifs pour la santé et le poids, en bloquant l’entrée des molécules polluantes (pesticides, médicaments) dans le circuit sanguin.

Les bactéries bénéfiques du microbiote filtrent le trop-plein de graisses et de sucre.

Pour exercer tous ses super-pouvoirs, le microbiote doit absolument être en bonne santé.

C’est lorsqu’il est sain qu’il peut jouer alors parfaitement son rôle et faire en sorte que les niveaux d’acidité du corps soient à l’équilibre.

Malheureusement cet équilibre est constamment perturbé par de nombreux facteurs acidifiants tels que la pollution, le stress, une alimentation en partie industrielle, le manque d’exercice ainsi que l’exposition aux substances toxiques.

L’action de tous ces éléments finit par dérégler l’équilibre acido-basique du corps et par agresser le microbiote.

Ces agressions constantes, auxquelles nous sommes tous plus ou moins exposés, provoquent un déséquilibre de la flore intestinale appelé « dysbiose ».

L’acidité du corps augmente et le système immunitaire s’affaiblit.

Dans l’étude citée précédemment, publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease, les chercheurs ont ainsi constaté que les patients atteints d’Alzheimer souffraient d’une perturbation de leur microbiote qui se caractérisait par :

  • une diversité microbienne réduite
  • une surreprésentation des bactéries inflammatoires

Ce déséquilibre intestinal provoque alors une inflammation sanguine qui affecte ensuite le cerveau où se développent des plaques dites « amyloïdes ».

Ces plaques seraient responsables de l’apparition de la maladie d’Alzheimer.(2)

Purifier les intestins aiderait donc à protéger le cerveau !

Cette découverte retentissante représente un espoir inespéré dans la lutte contre Alzheimer, cette maladie qui touche 225 000 nouvelles personnes chaque année en France.(3)

Cela correspond à un nouveau cas toutes les trois minutes et c’est la première cause de dépendance lourde et d’entrée en institution pour personnes âgées.

D’après les chercheurs de l’Université de Genève, ce résultat permet donc de dire que « le rôle précis et la contribution du microbiote intestinal et ses interactions avec divers organes constituent un domaine de recherche intense et stimulant qui offre des possibilités intéressantes pour la prévention, la gestion et la thérapie des maladies… ».(4)

En d’autres termes, rééquilibrer la flore intestinale augmenterait les chances de bien vieillir, et notamment de maintenir les facultés cognitives.

Mais alors comment rétablir un meilleur équilibre de la flore intestinale ?

En consommant des probiotiques, ces bactéries qui nous veulent du bien !

On entend de plus en plus parler de ferments lactiques, de microbiotiques, de symbiotiques, d’ultrabiotiques.

Tous ces noms désignent la même chose : les probiotiques sont « des micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont pris en quantité suffisante, peuvent être bénéfiques pour la santé », selon l’Organisation Mondiale de la Santé.

Depuis presque 15 ans, il ne se passe pas un jour sans que les centres de recherche scientifique ne fassent de nouvelles révélations sur les bienfaits des probiotiques.

Certains chercheurs de renom estiment que les probiotiques sont la plus grande découverte depuis la pénicilline.

Les experts prédisent que les probiotiques sont la médecine de demain et ils pensent que la consommation de probiotiques va être multipliée par cinq d’ici 15 ans.(5)

La flore intestinale a besoin de probiotiques pour être saine et pouvoir ainsi lutter contre les différentes attaques qu’elle subit au quotidien : pollution, stress, substances chimiques alimentaires et médicamenteuses.

Alors comment fait-on pour apporter à l’organisme ces probiotiques dont il a besoin ?

Depuis des millénaires on utilise des probiotiques pour fabriquer des yaourts, du fromage (en particulier à base de lait cru), de la choucroute, du kéfir ou encore de la kombucha (boisson à base de thé fermenté).

La Bible parlait déjà des bienfaits des probiotiques !

L’Ancien Testament révèle ainsi qu’Abraham a vécu jusqu’à un grand âge grâce au lait fermenté qu’il buvait.

Or le lait fermenté (traditionnellement sans pasteurisation) est rempli de probiotiques !

Aujourd’hui, les nouvelles technologies scientifiques démultiplient les bienfaits des probiotiques, ce qui est une vraie chance pour nous.

En raison notamment des atteintes subies par le microbiote, atteintes auxquelles la quasi-totalité d’entre nous est confrontée, les scientifiques recommandent de régulièrement « réensemencer » la flore intestinale en mangeant des aliments fermentés (ceux mentionnés ci-dessus notamment) ou en prenant un complément alimentaire de probiotiques.

Il existe de nombreux probiotiques sur Internet ou en pharmacie mais il faut y regarder de près car tous ne se valent pas…

Parmi les compléments alimentaires de probiotiques, il y a de tout, du très bon jusqu’au très mauvais.

Un bon complément alimentaire de probiotiques doit absolument respecter trois critères de qualité :

Critère n°1 : contenir au moins 10 milliards de probiotiques par prise quotidienne.

En dessous de cette dose, ce ne sera pas suffisant pour renforcer la flore intestinale.

Rappelez-vous que cette dernière est constamment attaquée par des bactéries toxiques et qu’il faut donc une dose suffisante de probiotiques pour y faire face.

L’efficacité des probiotiques dépend, en grande partie, de la dose qui va effectivement arriver jusque dans les intestins.

Pour arriver jusque-là, ils vont devoir passer la barrière intestinale et à ce moment-là, une partie va être détruite avant même d’avoir pu agir. Il est d’ailleurs recommandé d’utiliser des gélules végétales dites « gastro-résistantes » pour protéger, autant que faire se peut, les probiotiques jusqu’à leur arrivée à la barrière intestinale.

Ne pas utiliser de gélules gastro-résistantes serait une grosse erreur car il y a peu de chances que les probiotiques ingérés survivent à l’acidité de l’estomac… En ce cas, ils n’atteindront jamais l’intestin et n’auront aucun effet pour en rééquilibrer la flore et protéger ainsi contre la maladie d’Alzheimer.

Pour les mêmes raisons, il est nettement préférable de prendre les probiotiques à jeun, cela leur permet de séjourner moins longtemps dans l’estomac, puisque celui-ci est vide, et d’arriver plus rapidement dans les intestins.

Quoi qu’il en soit, quand on prend un probiotique, il y a forcément de la perte, c’est la raison pour laquelle il est préférable de prendre une formulation fortement dosée.

La quantité à prendre en complément alimentaire doit donc être suffisante pour apporter un réel bénéfice.

On considère qu’un microbiote en bonne santé contient environ 85 % de micro-organismes sains.

Critère n°2 : contenir un maximum de souches de probiotiques différentes.

La plupart des produits proposés aujourd’hui ne contiennent que trois ou quatre souches.

Ce n’est pas assez. Le bien-être de la flore intestinale dépend en grande partie de la variété des souches de micro-organismes qu’elle contient et pour cultiver ce terrain, comme dans tout écosystème, la diversité est fondamentale.

L’autre avantage d’avoir une grande variété de souches est que les différentes souches ont différents effets et, prises simultanément, elles vont exercer une action à large spectre dans les intestins.

Par ailleurs, toutes les études montrent que plus ces actifs sont pris de manière régulière et prolongée, plus les effets seront bénéfiques pour maintenir une flore intestinale saine et ainsi prévenir la maladie d’Alzheimer.

Critère n°3 : être fabriqué en France.

Les laboratoires français sont soumis à des exigences de qualité et d’hygiène extrêmement strictes. Dans ce domaine, acheter français est donc l’assurance d’utiliser un produit de très haute qualité et sans aucun risque.

Sources scientifiques :

  1. https://content.iospress.com/articles/journal-of-alzheimers-disease/jad200306
  2. Alzheimer’s disease and gut microbiota modifications: The long way between preclinical studies and clinical evidence ; Pharmacol Res 2018 Mar, Cesare Mancuso, Rosaria Santangelo
  3. https://www.frm.org/recherches-maladies-neurologiques/maladie-d-alzheimer/alzheimer-en-chiffres
  4. The central and biodynamic role of gut microbiota in critically ill patients ; Crit Care 2022 Aug 18, Hannah Wozniak, Tal Sarah Beckmann and al
  5. https://probiotics.org/amazing-facts/

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Biovancia est connu pour ses produits Artimium 360, Prostalim XR, Neo-Collagen, et NutraMag B6. https://biovancia.com

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