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Connaissez-vous des personnes qui cherchent leurs mots, égarent leurs affaires ou qui disent avoir l’impression que leur cerveau tourne au ralenti ?
Vous avez probablement déjà rencontré de telles personnes, elles présentent des signes inquiétants tels que des difficultés à suivre des conversations, des oublis de noms, de visages, de rendez-vous ou de mots de passe.
Au départ, ces trous de mémoire semblent anodins mais il est possible que des toxines aient pénétré dans leur cerveau sans qu’elles s’en soient rendu compte.
Les spécialistes appellent ce phénomène la « neuro-intoxication ».
On sait aujourd’hui que de tels signes annoncent un déclin cérébral qui peut aboutir à une perte totale d’autonomie et à la nécessité d’être mis sous tutelle ou de vivre dans un établissement spécialisé.
Le terme effrayant de “démence” désigne un déclin des aptitudes intellectuelles, assez grave pour interférer avec la vie quotidienne.
Les conclusions de cette étude aboutissent à deux constats alarmants :
Premier constat : l’exposition élevée aux particules fines est associée à une accélération de l’atrophie cérébrale. En langage simple, cela veut dire que la pollution environnementale réduit la taille du cerveau !
Second constat : vivre dans un environnement pollué augmente les risques de « mini-AVC », des accidents vasculaires cérébraux dits « silencieux », qui endommagent le cerveau.
La pollution de l’air n’est pas la seule coupable, car les substances nocives contenues dans la nourriture, l’eau et dans bien d’autres produits courants agressent aussi les cellules nerveuses.
De nombreuses études révèlent la présence d’aluminium, de mercure, de plomb, de nickel, de cadmium, de dioxines, de PCB et autres DDT dans un grand nombre d’aliments courants.
Les conserves, le saumon d’élevage, mais aussi les fruits et légumes et les céréales non biologiques contiennent des pesticides toxiques pour le cerveau.
Bien trop souvent, l’eau potable et le dentifrice contiennent du plomb et du fluor, deux neurotoxiques bien connus.
Déjà en 2005, l’organisation WWF (World Wide Fund for Nature en anglais ou Fonds mondial pour la nature) avait étudié les tests sanguins familiaux de 13 familles (grands-mères, mères et enfants), dans divers pays européens.
Le WWF a même découvert que la génération des grands-mères était la plus contaminée par des produits chimiques plus anciens et désormais interdits, comme le DDT et les PCB.
Quand l’organisme ne parvient plus à éliminer régulièrement cette charge toxique, ces polluants s’accumulent dans les cellules cérébrales qui « s’encrassent » dangereusement, la personne devenant de plus en plus distraite, les trous de mémoire et les moments de confusion se multipliant.
Il existe un autre facteur susceptible d’endommager les neurones, il s’agit de la bactérie appelée Porphyromonas gingivalis.
Lorsqu’elle prolifère dans la bouche, elle enflamme les gencives et provoque la formation de poches infectieuses puis elle se propage dans la circulation sanguine et remonte jusqu’au cerveau, cela même si la personne n’est pas sujette à une inflammation des gencives.
Il suffit en effet qu’elle s’immisce dans les petites lésions de la muqueuse buccale, pour entrer dans le sang et être transportée partout dans le corps.
Une fois présente dans le cerveau, la bactérie Porphyromonas gingivalis déclenche une inflammation redoutable pour les cellules cérébrales.
Normalement, le cerveau se détoxifie la nuit quand la personne dort.
Plus le sommeil est profond, plus le nettoyage et les réparations sont efficaces.
Malheureusement, avec l’âge, la durée des cycles de sommeil profond diminue.
Les neurotoxines sont donc moins bien éliminées et les dommages causés sont moins bien réparés.
Le constat est donc plutôt sinistre car, lorsque cette neuro-intoxication est allée trop loin, il semble malheureusement difficile de revenir en arrière…
Heureusement ce destin tragique, vécu par des millions de Français, est loin d’être une fatalité.
Quel que soit l’âge, il est possible de combattre ce phénomène et d’en éviter les effets destructeurs.
En effet, des chercheurs ont découvert que certains micronutriments bien spécifiques pouvaient produire des résultats spectaculaires pour les personnes souffrant de troubles cognitifs.
On appelle ces micronutriments particuliers des nootropiques, c’est-à-dire des actifs naturels qui favorisent le bien-être mental et les capacités cognitives.
Un des premiers actifs à avoir été répertorié comme nootropique est le Bacopa monnieri.
Plus connu en Inde sous le nom de « brahmi »,la phytothérapie indienne considère le Bacopa monnieri comme un tonique du système nerveux qui réactive la mémoire et améliore les fonctions cérébrales.
C’est ce que démontrent de nombreuses études scientifiques, qui confirment le rôle positif des bacosides A et B, les substances actives du Bacopa monnieri.
Dès le IIe siècle av. J.-C., la médecine chinoise a utilisé un champignon d’aspect étrange pour renforcer la mémoire et les capacités intellectuelles des hauts dignitaires de l’Empire.
Ce champignon appelé Hericium erinaceus ou Hydne Hérisson est donc un nootropique.
La phytothérapie chinoise nous dit qu’il peut donner « une mémoire de lion ».
Bien que le Hydne Hérisson n’ait pas encore livré tous ses secrets, on sait qu’il agit à plusieurs niveaux :
Au Japon, une étude clinique a été réalisée auprès de 100 patients âgés de 75 à 77 ans et souffrant de troubles cognitifs. Ils ont été répartis en deux groupes : 50 patients dans le groupe expérimental, les 50 autres dans le groupe témoin.
Tous les patients souffraient d’une pathologie neurologique et sept patients du groupe expérimental souffraient de différents types de démence.
Durant six mois, les patients du groupe expérimental ont consommé quotidiennement des extraits de Hericium erinaceus.
Les capacités physiques et perceptives de tous les patients ont été évaluées avant et après la période de traitement.
Les résultats ont montré qu’après six mois de supplémentation en Hericium erinaceus, plus de 85 % des patients du groupe expérimental avaient amélioré leur mémoire, leur compréhension et leurs capacités de communication.
De plus, ils avaient tous amélioré leur capacité à manger, à marcher et à s’habiller de manière autonome.
La dégénérescence cérébrale n’est donc pas nécessairement un phénomène irréversible, il s’avère que, contrairement aux idées reçues, il est possible de l’atténuer voire de la freiner comme nous l’avons vu dans cet article.
Sources :
(1) https://www.frm.org/recherches-maladies-neurologiques/maladie-d-alzheimer/alzheimer-en-chiffres
(3) Le cerveau endommagé : comment la pollution altère notre intelligence et notre santé mentale : Barbara Demeneix — 2016 — Éditions Odile Jacob
(4) https://www.sciencedaily.com/releases/2015/04/150423182357.htm
(5) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935120310367
(7) Children often more contaminated than their mothers, new WWF report shows — 06 October 2005 — Enquête WWF 2005 Panda.org
(8) https://www.science.org/doi/10.1126/sciadv.aau3333
(10) https://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/10/18/21409-comment-cerveau-se-nettoie-pendant-sommeil
(11) The chronic effects of an extract of Bacopa monniera (Brahmi) on cognitive function in healthy human subjects, Psychopharmacology 2001 Aug , C Stough, J Lloyd and al.
(12) Chronic effects of Brahmi (Bacopa monnieri) on human memory
(13) Hericium erinaceus (Bull.: Fr.) Pers., a medicinal mushroom, activates peripheral nerve regeneration, Chinese Journal of Integrative Medicine Original Article Published: 26 August 2014, Gowri Kanagasabapathy and al.
(14) The Monkey Head Mushroom and Memory Enhancement in Alzheimer’s Disease, Cells 2022 Jul 24; Yanshree, Wing Shan Yu and al.
(15) Biologically Functional Compounds from Mushroom-Forming Fungi, Hirokazu Kawagishi, in Natural Products and Drug Discovery, 2018