Comment favoriser la perte de poids en agissant sur certaines hormones
Biovancia propose de nombreux produits sur le marché des compléments alimentaires. Fondée en France (2018), l’entreprise a pour mission de combiner les composants les plus précieux de la nature avec des innovations scientifiques pour fournir des produits de qualité. Les solutions de santé naturelles de Biovancia sont formulées avec des vitamines, des plantes, des minéraux et d’autres ingrédients actifs brevetés.
Une hormone est une substance produite de façon naturelle par un organe du corps (glande endocrine), qui est transportée par le sang et qui agit sur d’autres organes. C’est une substance chimique biologiquement active, synthétisée par une cellule glandulaire et sécrétée dans le milieu intérieur où elle circule, agissant à distance et par voie sanguine sur des récepteurs spécifiques d’une cellule cible.
Des dysfonctionnements hormonaux peuvent freiner voire empêcher la perte de poids. Il est donc possible de perdre des kilos en corrigeant ces problèmes hormonaux.
La première hormone qui peut avoir une influence sur la perte de poids est la leptine. Cette hormone est chargée de transmettre au cerveau un signal indiquant que le corps est rassasié et qu’il doit donc cesser de manger.
La leptine régule également le métabolisme en signalant au corps qu’il doit, soit brûler les stocks de graisses, soit au contraire les conserver.
Il se trouve que dans certains cas, le cerveau ne reçoit pas le signal de la leptine, il pense alors, à tort, que le corps est affamé et il va inciter la personne à manger davantage.
Ce dysfonctionnement hormonal est connu et il est appelé résistance à la leptine.
Il est probablement présent si les circonstances suivantes existent :
- Sensation d’avoir toujours faim et de n’être jamais rassasié,
- Tentation quasiment irrésistible de consommer des aliments gras et sucrés,
- Impossibilité de perdre du poids quelles que soient les mesures prises pour y arriver.
Des études ont montré que ce problème de résistance à la leptine pouvait être éliminé grâce à la consommation d’un extrait de mangue (Irvingia gabonensis ou IGOB 131), favorisant par là même la perte de poids.
Ce fruit africain serait donc capable de corriger ce dysfonctionnement hormonal comme l’a montré une étude, menée sur 102 personnes obèses pendant une période de 10 semaines, ayant donné des résultats tout à fait impressionnants.
L’extrait de mangue utilisé pour cette étude provenait en totalité de mangues tropicales cultivées sans pesticides en Afrique de l’Ouest, plus précisément au Nigeria et au Cameroun.
La moitié des participants ont reçu 150 mg d’extrait de ces mangues à raison de deux fois par jour avant les repas, l’autre moitié prenant un placebo.
Au terme de l’étude, alors que le groupe placebo n’avait observé aucun changement, les personnes supplémentées avec l’extrait de mangue avaient perdu :
- plus de 12 kilos en moyenne
- 17 cm de tour de taille
- 18,5 % de masse grasse
De plus, leur taux de sucre sanguin avait baissé de 22,5 %, contre seulement 5,3% dans le groupe placebo et leur niveau global de cholestérol avait également baissé de 26,2 %.
En particulier, le taux de LDL (le « mauvais » cholestérol) avait baissé de 27,3 % versus 4,8 % dans le groupe placebo.(1)
Ces résultats remarquables ont été confirmés par une autre étude sur le cholestérol.(2)
Il existe une deuxième hormone qui peut jouer un rôle dans la prise de poids, il s’agit de la fameuse « hormone du bonheur », la sérotonine.
Quand le taux de sérotonine est élevé, la personne se sent habituellement en pleine forme mais, à l’inverse, si ce taux est bas, elle peut se retrouver d’humeur maussade.
Psychologiquement, elle aura plutôt tendance à se tourner vers des aliments plus gras et plus sucrés pour « compenser » cette mauvaise humeur.
Finalement, lorsque cette tendance se transforme en habitude, la prise de poids est inévitable et elle sera confirmée par l’affichage sur la balance.
C’est là qu’intervient un autre nutriment, une plante légumineuse appelée Griffonia simplicifolia, provenant elle aussi du continent africain et que l’on trouve en particulier au Ghana, au Togo et en Côte d’Ivoire.
Cette plante stimule naturellement la production de sérotonine et fait remonter ainsi le niveau de sérotonine dans le corps.
Les graines de Griffonia simplicifolia renferment du 5-HTP, un acide aminé, produit en petite quantité par l’organisme, qui se transforme en sérotonine.
Le 5-HTP évite les kilos « émotionnels » !
Il est en effet plus facile d’éviter le grignotage (et la culpabilité éventuelle qui en résulte) lorsque le niveau de sérotonine est plus élevé.
Grâce aux propriétés coupe-faim de la plante, on mange moins et on maigrit, quasiment sans s’en rendre compte.
Une étude a démontré que l’utilisation du 5-HTP réduisait la consommation de calories.(3)
Les participantes avaient en effet consommé 500 calories de moins par jour, pendant cinq semaines, sans fournir aucun effort conscient pour manger moins.
Au terme de cette étude, elles avaient perdu plus de 1,5 kilo sans fournir le moindre effort pour mincir !
L’autre hormone dont l’action a une incidence sur la perte de poids est l’insuline, l’hormone de stockage et de régulation des glucides.
Chez certaines personnes, sans que l’on en sache vraiment la raison, les cellules deviennent moins sensibles à cette hormone, c’est ce qu’on appelle la résistance à l’insuline.
Par conséquent, le sucre (le glucose) n’arrive plus à pénétrer suffisamment dans les cellules et s’accumule alors dans le sang.
Ingéré et non utilisé par l’organisme, il est ensuite transformé en lipides et stocké dans les cellules graisseuses.
C’est ce qu’on appelle l’hyperglycémie.
Cette situation provoque le diabète et favorise l’apparition de maladies cardiovasculaires.
Fort heureusement, il existe un oligo-élément dans certains aliments tels que le foie, les épices, le jaune d’œuf ou la levure de bière, qui permet de maîtriser l’arrivée du sucre dans le sang, de le faire pénétrer dans les cellules et de stabiliser le taux sanguin à un niveau normal.
Bien qu’il soit essentiel au bon fonctionnement de l’organisme, on en entend assez peu parler. Cet oligo-élément, c’est le chrome.
Disponible en complément alimentaire, c’est sous la forme de picolinate de chrome, celle qui a fait l’objet de nombreuses études, qu’il est plébiscité par les milieux scientifiques.
En prêtant assistance à l’insuline, le chrome normalise une glycémie constante, sans pics, ce qui réduirait le stockage du gras.
Ainsi, dans le cas d’une femme ménopausée (ou en pré-ménopause), ou de personnes ayant de la graisse abdominale et/ou présentant un surpoids important, il est fort probable qu’une supplémentation en picolinate de chrome s’avère nécessaire.
Il est donc possible d’agir de manière ciblée sur la perte de poids en optimisant l’activité de ces trois hormones.
- A novel seed extract of the West African plant Irvingia gabonensis, significantly reduces body weight and improves metabolic parameters in overweight humans in a randomized double-blind placebo controlled investigation.
- The effect of Irvingia gabonensis seeds on body weight and blood lipids of obese subjects in Cameroon. F. Ceci and others
- The Effects of Oral 5-Hydroxytryptophan Administration on Feeding Behavior in Obese Adult Female Subjects, Journal of Neural Transmission
- A double-blind, placebo-controlled, exploratory trial of chromium picolinate in atypical depression: effect on carbohydrate craving. Docherty JP1, Sack DA, Roffman M, Finch M, Komorowski JR.