Faites-vous partie des 20 millions de Français qui souffrent de douleurs chroniques et qui n’ont pas eu d’autre choix cette année que de céder aux sirènes du paracétamol, de l’aspirine, des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des opiacés ?
Ou avez-vous déjà essayé les compléments alimentaires, les patchs, les crèmes, les huiles essentielles ?
Contre la douleur, ces méthodes classiques ont deux défauts majeurs :
- Les antidouleurs chimiques présentent de nombreux effets indésirables sur votre foie, sur votre estomac, sur votre cerveau et même sur vos cartilages articulaires.
- Les soins naturels contre l’inflammation tels que les compléments alimentaires, les programmes d’exercices ou les régimes spécifiques sont utiles mais cela peut prendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois avant d’en ressentir les bienfaits.
Pendant longtemps, on a cru que la douleur était inévitable tant qu’on ne traitait pas sa cause profonde.
De nombreuses formulations nutritionnelles ont ainsi été développées et elles contribuent à régénérer les articulations en diminuant l’inflammation, en renforçant les cartilages et les tendons, tout cela de manière naturelle et sans danger.
À l’heure actuelle, des milliers de Français utilisent ces solutions et en retirent d’excellents résultats dans la mesure où ils les prennent régulièrement sur une période de 3 à 6 mois.
Ces méthodes classiques ne permettent malheureusement pas de stopper la douleur rapidement.
En effet, des chercheurs américains ont récemment découvert qu’un signal d’alerte de notre système nerveux est la cause réelle des douleurs articulaires.
Cela peut vous paraître difficile à croire mais vous devez comprendre quelque chose de crucial : tout part de ce « signal de la douleur » dans vos articulations.
À l’origine, le signal de la douleur vous est utile car il vous permet de savoir que quelque chose ne va pas dans votre corps.
C’est comme quand vous vous brûlez la main par exemple : la douleur vous permet de réagir en un éclair et de retirer votre main.
Dans le cas de l’arthrose, l’inflammation provoque l’émission d’un signal d’alerte au niveau de votre articulation.
Ce signal va ensuite être transmis via votre système nerveux jusqu’à un récepteur dans votre cerveau.
C’est au moment où votre cerveau réceptionne ce signal nerveux que vous allez ressentir ces douleurs qui transpercent vos articulations et peuvent vous faire un mal fou.
Le problème est qu’en cas de douleurs chroniques, ce signal ne s’arrête pas et il perd ainsi tout son intérêt.
Car une fois que vous savez que vous avez un problème articulaire, vous savez l’essentiel et ce qui compte vraiment : c’est tout simplement que la douleur s’arrête !
Voici quelques conseils pour vous y aider.
Étape n°1 : Peut-on brouiller le signal émetteur de la douleur ?
Des chercheurs autrichiens ont découvert que les articulations de patients souffrant d’arthrose renferment une quantité importante d’une substance jusqu’alors inconnue.
Ils l’ont appelée « substance P » — pour « pain » qui veut dire « douleur » en anglais.
La substance P est le signal émetteur de votre douleur.
Pendant longtemps, seules des modifications génétiques risquées pouvaient neutraliser la substance P.
Mais tout a changé depuis que des chercheurs américains ont révélé les propriétés stupéfiantes de la capsaïcine.
Les spécialistes expliquent ainsi son mode opératoire :
En clair : lorsque la capsaïcine est appliquée sur le point névralgique de votre articulation, celle-ci va brouiller le signal nerveux émis par la substance P et vous avez donc instantanément moins mal.
Étape n°2 : Comment empêcher ce signal de voyager sur « l’autoroute de la douleur » ?
Nous venons de voir que la substance P déclenche le signal de la douleur dans votre articulation.
Ce signal de la douleur voyage ensuite via votre canal TRPV1, cette « autoroute » de votre système nerveux qui remonte jusqu’à votre cerveau.
Il faut donc bloquer ce passage pour éviter que le signal de la douleur n’atteigne votre cerveau.
Mais comment faire ?
En 2005, des chercheurs ont découvert que le camphre désensibilise le canal TRPV1, ce qui en fait l’un des plus puissants analgésiques naturels jamais découverts.
En désensibilisant le canal TRPV1, le camphre barre la route au signal de la douleur.
Automatiquement, vos douleurs s’atténuent encore car le signal de la voyage au ralenti et il peut même être stoppé avant d’arriver à votre cerveau, ce qui pourrait faire littéralement disparaître la douleur.
Il reste encore une dernière étape…
Étape n°3 : Peut-on bloquer les récepteurs de la douleur dans le cerveau ?
Maintenant que nous savons brouiller le signal émetteur de la douleur et que nous pouvons freiner sa transmission, nous souhaitons également l’empêcher de s’installer dans votre cerveau.
C’est à ce niveau qu’intervient l’huile de Mentha arvensis.
Cette huile pure et précieuse s’obtient par distillation des feuilles de menthe et elle est utilisée depuis 2000 ans en médecine ayurvédique pour lutter contre la douleur.
Il a pourtant fallu attendre une étude de 2010 pour que la science perce le mystère de ses effets antidouleurs.
Elle révèle que l’huile de Mentha arvensis a la faculté de bloquer naturellement la réception du signal de la douleur au niveau des récepteurs opiacés — ce sont des cellules nerveuses du cerveau chargées de moduler sa réponse à la douleur ou au stress.
L’huile de Mentha arvensis est si puissante qu’elle remplace parfois la morphine pour endormir la douleur de patients devant subir une opération.
Mais contrairement à la morphine, cette huile précieuse ne provoque pas d’addiction et ne présente aucun effet nocif.
C’est pourquoi dans les milieux soignants on dit souvent que l’huile de Mentha arvensis est « aussi puissante que la morphine et aussi inoffensive qu’une huile essentielle ».
En résumé, on peut dire que la douleur articulaire est un signal qui part d’un point névralgique au niveau de votre articulation pour atteindre les terminaisons nerveuses de votre cerveau et qu’il existe maintenant des possibilités prometteuses d’agir de façon naturelle sur ce signal :
- En brouillant l’émission du signal de la douleur au niveau de son point névralgique grâce à la capsaïcine ;
- En freinant la transmission de ce signal via le canal TRPV1, « l’autoroute de la douleur », à l’aide du camphre ;
- En bloquant la réception de ce signal de la douleur au niveau des terminaisons nerveuses du cerveau en utilisant l’huile de Mentha arvensis.
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Sources scientifiques :
(2) Neuropeptides. Volume 1, Issue 3, February 1981, Pages 175–180. Increase of substance P in primary afferent nerves during chronic pain
(5) Xu H, Blair NT, Clapham DE. Camphor activates and strongly desensitizes the transient receptor potential vanilloid subtype 1 channel in a vanilloid-independent mechanism. J Neurosci. 2005;25:8924–8937.
(6) Jennifer L. Olive et al., « Vascular Conductance Is Reduced after Menthol or Cold Application », Clinical Journal of Sport Medicine: Official Journal of the Canadian Academy of Sport Medicine 20, no 5 (septembre 2010): 372‑76
(7) Robert Topp, Elizabeth R. Ledford, et Dean E. Jacks, « Topical Menthol, Ice, Peripheral Blood Flow, and Perceived Discomfort », Journal of Athletic Training 48, no 2 (2013): 220‑25